- Inscrit
- 19 Mai 2016
- Messages
- 188
- Reaction score
- 63
- Points
- 1,483
Vous n'avez pas la permission de voir le lien s'il vous plaît
Connexion ou S'inscrire
Vous n'avez pas la permission de voir le lien s'il vous plaît
Connexion ou S'inscrire
La nouvelle équipe répondant au nom de Team ReSwitch a examiné le "protocole cartouche" de jeux Nintendo Switch.
L'équipe de développement ReSwitch, célèbre pour notamment la libération de sa trousse d'outils d'exploitation Web 'PegaSwitch', a également été occupée à étudier d'autres domaines de la console Nintendo Switch, et récemment elle a publié son travail en cours dans l'analyse des Switchecards 'Switch'.
Le 'Reverse Engineering' de la cartouche est en cours et une belle progression a été opérée sur l'analyse de la logique du protocole qui a aidé à identifier certaines commandes et les broches utilisées par la cartouche.
Essentiellement elle se contente d'être une puce de mémoire montée sur un petit PCBoard. Il semble qu'une puce ROM de Macronix soit utilisée. La série de périphériques MX23K n'est pas répertoriée sur le site Web de Macronix.
C'est peut-être une "Gaming Machine XtraROM®" ou "ASIC XtraROM®" avec DRM intégré.
Les cartouches de jeux Switch utilise un bus 8 bits simple (mais propriétaire) (DAT0..7) avec une ligne d'horloge (CLK + / CLK-) et une ligne de sélection (CS).
Pin Description
0 GND
1 CLK+
2 CLK-
3 CS
4 DAT0
5 DAT1
6 VCC 3.3v
7 DAT2
8 DAT3
9 VCC 1.8v
10 DAT4
11 DAT5
12 DAT6
13 DAT7
14 GND (IRQ?)
15 RST
La Switch démarre un transfert en tirant d'abord CS Low, suivi d'un octet d'un octet de chaque cycle d'horloge. Une fois qu'un nombre fixe d'octets de commande sont écrits dans le bus, la direction du bus change implicitement et le jeu répond avec les données. La Switch maintient l'horloge pendant que le jeu répond. Une fois le transfert terminé, la ligne CS est repoussée à nouveau.
Le commutateur entraîne l'horloge du jeu à une fréquence de 25 MHz. L'algorithme de cryptage utilisé est actuellement inconnu.
Si le sujet vous intéresse cela se passe par ici :
Merci Chronoss.
Source : L-S
L'équipe de développement ReSwitch, célèbre pour notamment la libération de sa trousse d'outils d'exploitation Web 'PegaSwitch', a également été occupée à étudier d'autres domaines de la console Nintendo Switch, et récemment elle a publié son travail en cours dans l'analyse des Switchecards 'Switch'.
Le 'Reverse Engineering' de la cartouche est en cours et une belle progression a été opérée sur l'analyse de la logique du protocole qui a aidé à identifier certaines commandes et les broches utilisées par la cartouche.
Essentiellement elle se contente d'être une puce de mémoire montée sur un petit PCBoard. Il semble qu'une puce ROM de Macronix soit utilisée. La série de périphériques MX23K n'est pas répertoriée sur le site Web de Macronix.
C'est peut-être une "Gaming Machine XtraROM®" ou "ASIC XtraROM®" avec DRM intégré.
Les cartouches de jeux Switch utilise un bus 8 bits simple (mais propriétaire) (DAT0..7) avec une ligne d'horloge (CLK + / CLK-) et une ligne de sélection (CS).
Pin Description
0 GND
1 CLK+
2 CLK-
3 CS
4 DAT0
5 DAT1
6 VCC 3.3v
7 DAT2
8 DAT3
9 VCC 1.8v
10 DAT4
11 DAT5
12 DAT6
13 DAT7
14 GND (IRQ?)
15 RST
La Switch démarre un transfert en tirant d'abord CS Low, suivi d'un octet d'un octet de chaque cycle d'horloge. Une fois qu'un nombre fixe d'octets de commande sont écrits dans le bus, la direction du bus change implicitement et le jeu répond avec les données. La Switch maintient l'horloge pendant que le jeu répond. Une fois le transfert terminé, la ligne CS est repoussée à nouveau.
Le commutateur entraîne l'horloge du jeu à une fréquence de 25 MHz. L'algorithme de cryptage utilisé est actuellement inconnu.
Si le sujet vous intéresse cela se passe par ici :
Vous n'avez pas la permission de voir le lien s'il vous plaît
Connexion ou S'inscrire
Merci Chronoss.
Source : L-S